Le syndicat UNSA des territoriaux de Côte d’Or défend, informe et accompagne les agents territoriaux de l’ensemble des collectivités territoriales et établissements publics affiliés au Centre de Gestion de la Côte d’Or.
La circulaire est très claire quant aux cinq missions dont sont chargés les référents handicap :
Il est demandé de nommer un référent handicap par administration. Ce référent handicap doit être identifié et accessible à l’ensemble des agents en situation de handicap de son administration. L’UNSA Fonction Publique demande à ce que le nombre d’agents référents handicap par administration tienne compte du nombre d’agents et du maillage territorial. A titre de comparaison, un référent handicap est nommé dès qu’une entreprise dépasse 250 salariés.
Il est précisé que les référents handicap doivent :
Pour l’UNSA Fonction Publique, ces trois points sont des éléments positifs à l’accomplissement de leurs missions.
L’engagement professionnel et les compétences acquises par les référents handicap doivent être reconnus et valorisés par tout moyen adapté. L’UNSA Fonction Publique s’inquiète d’un traitement différencié de cette reconnaissance et de cette valorisation suivant les moyens de chaque administration : niveau indemnitaire différent, avancement plus rapide…
4,40 % des 2,5 millions des agents publics de l’État sont reconnus comme travailleurs handicapés, soit près de 110 000 personnels. Pour l’UNSA Fonction Publique, cette circulaire est un premier pas vers un meilleur accueil, une meilleure insertion et un meilleur maintien dans l’emploi des personnels handicapés. Un bilan annuel de l’action annuelle des référents handicap doit être présenté dans chaque administration auprès des organisations syndicales.